Le street art, qu’est-ce que c’est ?

Au départ, le street art’est un mode d’expression artistique initié à Philadelphie (ville de Pennsylvanie aux États Unis) par Cornbread et Cool Earl. Très vite, le mouvement a conquis le monde et est adopté par de nombreux artistes. Le street art, c’est avant tout un art atypique qui se veut unique. En effet, il n’a point besoin de musées d’exposition ou de galeries d’art pour se faire valoir. Comme son nom l’indique, il se réalise dans la rue et a vocation à se livrer aux yeux de tout le monde. Son but ultime est de faire passer un message fort (contestataire, social, poétique, décalé, etc…) Ainsi, que ce soit dans le métro, sur les surfaces publiques ou sur les fresques murales, tous les endroits conviennent aux artistes pour s’exprimer.

On emploie plusieurs techniques comme les stickers, le graffiti, la mosaïque, le collage et parfois même des vidéos projections. Le street art est également une forme d’expression inhabituelle à caractère subversif. Il va à l’encontre des règles sociales dans leur vision restreinte de la liberté d’expression pour tous. A quelques exceptions près (commandes), il s’expose sur des surfaces interdites et qui ne sont pas prévues à cet effet.

L’art urbain prône le libertinage, essence même de sa vision. Très souvent, les peintures réalisées sont considérées comme intrinsèquement scandaleuses et anti-sociales du fait justement qu’elles ne jouissent pas d’une autorisation légale. En revanche, les choses ont évolué depuis les origines et, de nos jours, on retrouve des musées à ciel ouvert dédiés au street art avec des expositions très impressionnantes.

Quelques célèbres artistes street art

Plusieurs artistes ont fait la gloire de l’art urbain depuis sa création à nos jours. Voici quelques-unes de ces figures emblématiques.

Banksy

Banksy est probablement le plus célèbre des artistes street art que le monde a vu naître et évoluer. C’est un fameux artiste peintre et graffeur d’origine britannique spécialisé dans l’art de rue.

Récompensé à plusieurs reprises pour son talent unique, il utilise généralement le pochoir pour faire passer des messages politiques, humoristiques ou poétiques. Illustrations anticapitalistes, anarchistes ou plus allégoriques, tout compte fait son nom reste gravé dans la mémoire de tous.

Cornbread

De son vrai nom Darryl McCray, Cornbread est reconnu comme le premier graffeur moderne. Il a fait ses débuts à Philadelphie à une époque où les tagueurs étaient particulièrement réputés pour taguer sur les trains de métro.

À l’âge de 17 ans, Cornbread a su creuser la distance avec ses rivaux de New York City en sautant à une clôture de zoo pour peindre à la bombe son fameux chef-d’œuvre « Cornbread Lives ».

Niclas Castello

À travers l’illustration de logos, un maniement parfait de l’art de la culture pop urbaine, Niclas Castello a su trouver son chemin. C’est un artiste contemporain allemand influencé par le street art et le néo-expressionnisme. Il dessine des peintures remarquables.

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Le terme « mic drop »

C’est un anglicisme qui désigne le fait pour un individu de lâcher son micro à la suite d’une intervention qu’il juge performante. Dans un sens plus large, l’expression peut aussi être utilisé pour signifier ou apprécier une action impressionnante. Le terme a été popularisé par les rappeurs et les comédiens dans les années 80. En effet, ces derniers se lançaient des défis et se livraient à des confrontations de performances appelées battles, notamment les battles de rap. Ainsi, au cours de ces évènements, ils laissaient tomber leurs micros pour signifier la chute ou la fin d’une prestation jugée époustouflante. Cet acte était un signe de grande confiance dans l’idée que le concurrent ne pourrait pas faire mieux.

L’expression devient de plus en plus célèbre avec Eddie Murphy. En 1983, l’acteur et comique américain effectue un mic drop au cours de son spectacle Delirious. Elle le sera plus encore avec le président américain Barack Obama qui le fait à deux reprises. La première fois, c’était en avril 2012 dans le Late Night with Jimmy Fallon. La seconde fois était le 30 avril 2016 lors du dîner des correspondants de la Maison-Blanche, à la fin de son discours. Avec ce geste à la fois humoristique et symbolique, Obama a fait entrer les codes du Rap et de la culture urbaine originellement noire-américaine dans le plus haut lieu du pouvoir américain.

Rap, défi et célébrités

Le concept du « mic drop » sera repris et mis à l’honneur avec l’émission télévisée Drop The Mic. Il s’agit d’un spin-off de The Late Show with James Corden. Annoncée en août 2016, elle connaîtra sa première saison en 2017 sur la chaîne américaine TBS. L’animation est assurée par l’acteur et rappeur Method Man assisté du mannequin et personnalité de télévision Hailey Bieber.

L’émission consiste en des battles de rap entre des célébrités qui prestent sur les beats originaux fournis par Joshua Silverstein. Les gagnants remportent le prestigieux prix ; le micro d’or. Progressivement, elle connaîtra une seconde saison (lancée en avril 2018), et même une troisième débutée en janvier 2019. Des duels épiques ont marqué les cœurs et parmi eux, on retrouve :

• Terry Crews vs Luis Fonsi
• Shaquille O’Neal vs Ken Jeong
• Charlie Puth vs Backstreet boys
• Halle Berry vs James Corden
• Usher vs Anthony Undersand

Tout compte fait, le mic drop reste un aspect classique qui accompagne toujours les formes d’expression du Hip-Hop, notamment le rap. Finis les conflits sauvages d’antan, le rap game peut toujours s’enorgueillir de cet appel à défis où élégance, désinvolture et sens de la punch line se côtoient. 

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Le rap : un moyen d’expression clanique devenu une culture musicale planétaire

L’acronyme RAP, défini comme « Rythm And Poetry » est l’assimilation de la poésie et du rythme pour partager ses émotions ou dénoncer un fait sur une ligne musicale. Les débuts de cette musique iconique se situent dans le Bronx, un quartier pauvre de la ville New yorkaise, peuplée de ghettos dans les années 60-80.

Cette zone où la prostitution et les violences de tout genre étaient monnaie courante était majoritairement occupée par la population noire américaine. Pour ces habitants, le seul moyen de se décompresser était les soirées de DJ Kool Herc, le tout premier rappeur connut de l’histoire.

Pendant ses animations au 1520 Sedwick Avenue (le lieu de naissance de hip-hop), les spectateurs prenaient du plaisir à écouter le funk de James Brown ou Curtis Mayfield. L’ancêtre de la musique poétique a constaté, lors de ses prestations, que les parties intéressantes de ses mix sont les passages de morceau où la musique est réduite à un minimum d’éléments.

Lorsque DJ Kool Herc voit s’approcher ces moments que les musiciens appellent breaks, il use de son micro pour prévenir la foule. Ainsi, les jeunes adossées au mur se ruent sur la piste de danse et il les appelle les Breaks Girls ou les Breaks Boys.

C’est ce qui constitue l’essence du rap avant la prolifération des groupes de rappeurs où la concurrence était de mise avec des affrontements réguliers pour la suprématie. Parmi ces crew de hip-hop, figurent en bonne place les Brothers Disco, Grandmaster Flash and the Furious five et les L Brothers.

Les spécifiés de la musique rap

Les rythmes du genre rap sont très cadencés. Blues, jazz, funk, gospel… semblent s’y mélanger. Les temps sont souvent scandés par alternance pour soutenir un phrasé rappelant les dialogues du soliste.

Dans ce paysage musical débridé, différents thèmes sont abordés avec un certain ultra libéralisme. On note également le gangsta rap où dans les clips, l’on assiste à un affichage ostentatoire de riches, au consumérisme de drogues ainsi que les femmes. D’un autre côté, dans ce paysage de valeurs, les religions, l’influence de la Zulu nation, l’animisme, le Kamitisme et les autres courants philosophiques comme l’agnostisme ne sont pas en reste.

Le rap aujourd’hui

Les États-Unis semblent avoir conservé jusqu’aujourd’hui, leur suprématie dans le rap game mondial. En effet, la musique issue de la culture urbaine s’est très vite répandue et adoptée par plusieurs communautés. Mais avec la jeune génération constituée des célébrités à l’instar de Drake, de Whiz Khalifa ayant succédé aux ténors, dont 2Pac Shakur, Snoop Dog, le Rap Us conserve ses lettres de noblesse et n’est toujours pas détrôné.

En France, la culture rap s’est popularisée grâce à l’animateur, DJ et musicien Sidney avec son émission diffusée sur TF1 à partir de décembre 1984. Durant les années 1990, l’essor du rap français s’est fait remarquer avec l’arrivée sur scène des groupes comme MC Solar, les sages poètes de la rue, time Bomb, etc. Un peu plus tard, dans les années 2000, les rappeurs comme Booba, La Fouine ou Diam’s ont poursuivi le game. Par la suite, les artistes du groupe Sexion d’assaut insuffleront une nouvelle vie au Rap français. Aujourd’hui, la tendance est aux stars parmi lesquelles se trouvent Niska, Gradur ou Youssoupha avec son Rap Conscience.

Au début plus gentillet qu’engagé, le ton du rap français ou du hip-hop télévisuel « à la Sidney » s’est finalement plutôt durci avec des groupes comme NTM et d’autres encore. Pourtant, une tendance plus cool, humoristique, voir poétique et moins énervé a toujours coexisté avec cette tendance plus violente. Des groupes comme IAM, la Fonky Family ou des rappeurs comme Doc Gyneco ou même MC Solar en sont des purs représentants. Plus près de nous, le Slam d’un Grand corps Malade dénote par rapport au tons agressif, ultra-libéral et consumériste de certains autres rappeurs.

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Kool Shen, de rappeur à As du Poker

De son vrai nom Bruno Lopes, Kool Shen est sans aucun doute, l’un des acteurs les plus incontournables de l’émergence de la culture urbaine française. Né en 1966 à Seine-Saint-Denis — le bastion du rap français —, il est à la fois rappeur, graffeur, producteur et acteur. Le cofondateur du groupe de rap suprême NTM a développé dès son enfance, une passion pour le mouvement hip-hop alors tout juste à ses débuts dans l’hexagone. Il a enregistré de nombreux albums aussi bien en duo qu’en solo.

Depuis sa sortie de scène avec la fin des NTM, Kool s’est fait largement remarquer en tant que célèbre joueur de poker français. Une activité annexe qui lui a valu des surnoms comme la caisse, Double, le Babtou, etc. Ainsi, parallèlement à sa carrière d’artiste, Kool Shen s’est assez vite consacré au poker. Sponsorisé dans cette nouvelle carrière par plusieurs bookmakers, dont PokerStars en 2010 et Winimax depuis 2012, il est considéré comme un célèbre joueur français de tournois No Limit Hold’em.

Un beau palmarès en tournoi

Le poker lui a, ainsi, permis de démontrer que ses talents ne s’arrêtaient pas au Rap et une liste de récompense très fournie le caractérise. Six fois présent aux places payées lors d’un European Poker Tour, il débloque sa meilleure position en occupant une 4^e place à Madrid le 12 mars 2012. Une prouesse qui lui a valu le gain d’une rondelette somme 140 000 euros. Durant sa carrière de joueur de poker professionnel, le prodige du hip-hop français a également remporté deux tournois d’envergure. Le Main Évent des Euros avec un gain de 100 000 euros. Puis, le World Poker Tour national série de Cannes en juin 2012 pour 108 000 euros. Dans cette carrière, Kool Shen a pu s’offrir un gain total estimé 1 040 000 dollars. La preuve que quand le rap rencontre le monde du poker et du casino, il peut faire des étincelles.

Autres célébrités de la culture urbaine au casino

Les rappeurs iconiques aiment ressentir les frissons et l’adrénaline que génèrent les jeux de chance. Outre, Kool Shen, nous avons effectué le tour du monde et vous livrons une liste de célèbres rappeurs qui trouvent tout le plaisir à fréquenter le casino.

50 cent

Le rappeur américain 50 cent est un passionné invétéré des jeux d’argent. Ces mises audacieuses en sont d’ailleurs la preuve. En 2007, Curtis a placé un million de dollars sur Floyd Mayweather, lorsque celui-ci a combattu Oscar De La Hoya. Une autre fois encore, en 2012, 50 Cent a misé un demi-million de dollars sur les Giants de New York en NFC.

Dans son morceau What You obtained, il a même chanté sa connaissance complète de son jeu : « j’ai un problème de pari. Je ne parie que vous (…). J’ai perdu de l’argent en pariant sur Roy. J’ai gagné de l’argent quand j’ai misé sur Floyd, c’est moi qui parie sur un enfant ».

Jay-Z

Il est sans doute l’un des rappeurs les plus connus au monde et son rap l’un des plus efficaces. Shawn Carter de son vrai nom, outre le succès de sa musique, est aussi un excellent joueur de Blackjack et de Poker en ligne. Il est spécialisé dans les tables à enjeux élevés sur différents sites de casinos. Les médias ont rapporté que le compagnon de Beyonce a perdu 500 000 dollars.

Nelly

Le rappeur qui répond au nom de Cornell Iral Haynes Jr est un musicien pop à succès. Ces nombreux titres dont Hot In Here, ou Problem avec Kelly Rowland ont réussi à tourner les regards vers lui. Mais loin des clubs et des projecteurs, il peut se révéler un véritable passionné du casino et des jeux d’argent. Il fréquente régulièrement le Hold’em au Texas et exprime librement son amour pour le poker.

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Street dance

Le street dance est une variante de la danse urbaine qui regroupe également toute une variété de danses originaires d’Amérique et d’Allemagne. Né dans les rues et dans boîtes de nuit dans les années 1990, il se pratique en groupe sur une musique Hip-hop.

 À l’opposé de la plupart des autres danses urbaines, la ‘’danse de rue’’ ne possède pas de figures au sol. De plus, le danseur reste debout en général durant toute l’exécution de la chorégraphie. On retrouve dans ses formes les plus populaires :

Le krumping 

Autrefois appelé « clown dance »; qui est une danse esthétique et assez agressive, qui demande beaucoup d’énergie. Elle provient de Los Angeles et s’inspire des danses africaines traditionnelles et tribales. Le Krumping est mis à l’honneur dans le film Rize de David LaChapelle.

Le new school 

 Appelé « new style » en France, c’est l’une des variantes les plus connues de Street dance. Elle associe, sur un rythme accéléré des mouvements du 69, du wave dance, du popping ou même du boogaloo. Le long métrage Street Dancers en est une parfaite illustration.

Hiphop

Le Hip-hop est la toute première forme de danse urbaine. Apparue en 1970 dans les quartiers pauvres où régnait la violence, c’était un moyen pour les communautés afro-américaines et portoricaines de s’affranchir de leur quotidien et de libérer une certaine forme d’expression artistique. Dans cette famille, on retrouve également plusieurs styles de danses hip-hop à savoir : le breakdance, le popping, le locking et le house dance.

Avant d’être une simple danse, le Hiphop est avant tout une culture, une philosophie qui prône la diversité, la créativité et le partage. La culture hip-hop se scinde en différentes branches que sont le rap ou MCing, le DJing, le graffiti et le beatboxing. Il faut noter que l’un des pionniers de ce mode d’expression artistique est DJ Kool Herc.

Juste debout

Les street dancers adorent les « battle » et n’hésitent donc pas à organiser des compétitions pour se défier. C’est l’exemple typique de la compétition Juste Debout organisée depuis 2002 par Bruce Ykanji et dont la finale se déroule à Paris. Elle regroupe des danseurs venus d’horizon divers et met en jeu plusieurs styles de danse. La street dance a trouvé un terrain favorable dans de nombreux pays d’Europe. En France, elle a une importance toute particulière.

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Le rap ou le langage poétique de la rue

Il est aussi connu sous d’autres appellations, mais le plus usité reste le rap. Il s’agit d’un flot de paroles débitées avec style et rythme. Le registre peut être soutenu ou familier. Il suffit parfois de tendre l’oreille pour se rendre compte qu’il s’agit souvent de jeux de mots, dans lesquels, l’argot se faufile très vite.

Pour la beauté de son art, le rappeur peut décider de captiver l’attention en se faisant accompagner par un DJ, un beatboxer ou tout simplement de ne se servir que de sa voix. La pratique la plus répandue reste l’utilisation des beats.

Le DJ’ing ou le mixage des morceaux

Ce qui fait un DJ, ce sont ces deux tourne-disques et sa capacité à mixer deux morceaux simultanément. Dans sa panoplie technique, il utilise aussi un nombre important d’équipements à savoir : une table de mixage, des amplificateurs, un haut-parleur, surtout un microphone, et des machines à effet.

Grâce à son savoir-faire, le DJ peut créer un nouveau son, en mélangeant deux disques ou des samples de provenances variées. De nouvelles techniques de mixage ont également vu le jour et d’autres leur emboiteront certainement le pas.

Le break dance : la gymnastique cadencée

Il fait appel à tout un lot de techniques. Les adeptes de cette danse se défient très souvent et sont tout le temps dans la logique de dépasser leur adversaire. Il emprunte pas mal d’éléments d’origines variées : arts martiaux, pas de danse célèbre de Michael Jackson, mouvements robotiques et saccadés; etc… Il s’exécute généralement sur les rythmes de la musique hip-hop.

Le Graffiti : la peinture sur toile de mur

Son appartenance à la grande famille de la culture hip-hop est souvent remise en cause. Ce qui ne l’empêche pas néanmoins d’étendre ses tentacules dans le monde entier. Il était utilisé au début des années 60, par des partisans politiques comme moyen d’expression.

Le tag incarne le mieux le graffiti de nos jours. Il s’agit en fait de mettre en valeur son nom en l’écrivant avec un style propre ou de personnaliser une marque ou un logo en le rendant unique. Il est cependant proscrit de taguer des biens d’autrui sans consentement ou tout bien public. Le tag fait partie de cette culture un peu d’expression codifiée facile qui a défiguré souvent certaines zones urbaines par son absence totale d’esthétique. Il ne faut pas le confondre a l’art du graffiti qu’on regroupe quelquefois sous l’appellation de street art qui lui fait appel à un vrai sens créatif et de vrais aptitudes artistiques.

Comme on le voit, un petit tour dans l’univers de la culture hip-hop permet de se rendre compte de sa variété, de ses extensions et de sa richesse. En se confrontant à chaque culture, il s’est coulé dans la langue de chacune d’elle et sa large adoption prouve à quel point, elle a conquis des cœurs et la place importante qu’est la sienne. En regardant vers le futur, ses plus belles histoires restent encore à écrire.

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